BaronDysnomia
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de toujours
(CV) Perdu dans les montagnes de Dysnomia, entre vapeurs et engrenages, dans une impressionnante Université, baillait un jeune garçon. Un peu trouillard, le pauvre ne savait pas encore, que je l'avais choisi, pour mettre sur sa route tous les dangers du monde. Le premier lui vint, sous une splendide forme...
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PS: Grand fan de «H2G2: Le Guide du Voyageur Galactique»,«42», de Douglas Adams, l'humour essayera tant bien que mal de s'en rapprocher.
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(CV) Petit recueil de nouvelles, d'histoires improbables et de bien d'autres surprises...
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Défi
(CV) Cette histoire décrit la création de la vie, des animaux et de l'Homme, de son empire - de sa grandeur jusqu'à sa décadence.
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Vous êtes vous déjà demandé comment s'est passé l'hiver nucléaire en France, pendant que de l'autre coté de l'atlantique, la Grande Amérique prospérait ?
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Défi
Mon nom est ......., je suis le patriarche du clan Noname. Et ceci et mon testament de vie.
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Dans ma petite classe aux quatre murs bien étroits, mais au temps dilaté, ma professeure expliquait une suite de formules complexes, avec le feu destructeur de la passion qui lui était propre.
Dans l'immensité silencieuse et glaciale de la salle, elle détaillait la théorie du temps relatif à l'observateur à coup de schémas, appuyés de discours enflammés tout en martelant qu'il était excessivement difficile de se représenter cette théorie à notre échelle temporelle.
De ce que mes pauvres capacités comprenaient : ça n'était pourtant pas si compliqué que ça ; cela faisait quatre heures d'emprisonnement selon mon horloge ventrale — qui criait famine et menaçait de révolution — , là où cette damnée montre restait obstinément bloquée sur une petite heure de cours. Absurde, n'est-ce pas ?
Bref, pendant que mes oreilles écoutaient une berceuse — passionnée certes, mais soporifique surtout —, mon petit nez se mit à piquer, sommeil et pollen, sans doute...
Dans le silence et la rigueur scientifique, l'aléa reprit son juste droit :
ATCHOOUUM !
Cet éclair auditif déchira les tympans de la classe et réveilla les endormis.
Oups, la boulette, maudit nez ! Et cette fichue allergie qui commence par me sortir par les yeux.
Instinctivement, je me tournai pour regarder mon voisin de derrière, et ainsi diriger le troupeau aveugle des regards accusateurs.
Braqués sur un visage mi-endormi mi-réveillé : nullement lucide, mille yeux sévères et moqueurs dévisagèrent un innocent surpris – ce qui le rendait d'autant plus suspect... et donc surpris...
Un léger sentiment de culpabilité me picota le nez : fugace, je sus vite l'étouffer, et dans un quasi-silence, cette fois-ci. Le cours repris sa monotonie dans un nouveau calme immaculé.
Grain par grain, du pollen revint chatouiller mon allergie. Je le savais, je pouvais tromper une fois la classe de cinquante, mais pas cinquante fois mon voisin de derrière. Déterminé, je pris la résolution inébranlable, que quoiqu'il arrive, je n’éternuerais pas !
Une lutte de chaque instant s'engagea. La bouche allait céder, je la barricadai au plus vite avec ma main. Puis ce fut au tour du nez, l'air menaçait de contourner fourbement les défenses. De mon autre main, je me bouchai le nez – lâcher maintenant cet éternuement serait tsunamique.
Les secondes passèrent bien lentement tandis que mon envie d'éternuer ne faisait que gonfler et se comprimer...
Soudain, dans la classe, il y eut deux légers bruits:
Blop ! Blop !
Juste après, l'air prisonnier s’évacua, et mon envie d'éternuer avec. Sur mon bureau, j'entendis rouler deux petits objets mous, qui tombèrent à terre, mais je ne vis rien. Plus jamais !
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Dans une grande fête foraine, au crépuscule, un petit garçon s'avance timidement.....
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Sous un soleil de plomb,
sur un bitume brûlant,
ils étaient là. Immenses.
Il ne pouvait en rester qu'un !
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